J'aurais pu coiffer ce texte du titre de mon carnet du 7 septembre. Huit ans déja que les tours jumelles s'écroulaient en direct.
Le nuage de poussière finira-t-il jamais par se dissiper?
Une pensée pour celles et ceux qui sont allés travailler, ce matin-là, et qui pensaient que le quotidien les ramènerait à la maison en métro, en taxi ou en traversier, sur l'autre rive de l'Hudson.
Une pensée aussi pour ceux et celles, simples civils, qui sont tombés sous les bombes de l'Occident.
Les amis de W. appellent cela des « dommages collatéraux ».
vendredi 11 septembre 2009
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